le 1er décembre 1982

20.4.26

Les employés s'estimant lésés ont demandé d'être remboursés pour une journée d'absence. Ils ont affirmé que cette dernière était attribuable à un danger imminent pour leur santé consistant dans la présence de mousse isolante au formaldéhyde dans leur lieu de travail.

Après en avoir discuté en long et en large et avoir fait remarquer qu'un employé pourrait renvoyer son grief à l'arbitrage si la réponse au dernier palier de la procédure ne le satisfaisait pas, le Comité d'administration a reconnu ne pouvoir trancher ces griefs. Par conséquent, dans l'affaire en question, la réponse au dernier palier ne renferme aucune décision.